Ces gémissements quotidiens et permanents de « Yaka-Faukon », m’insupportent…
Je ne sais pas si, comme moi, vous l’avez remarqué, mais les gémissements quotidiens et permanents qui empoisonnent l’esprit public sont moins ceux des personnels de santé, des caissières de supermarchés, ou des conducteurs de bus et de camions, etc… occupés qu’ils sont à sauver des vies ou satisfaire aux besoins vitaux de la société, que ceux sifflés sur tous les tons du yaka-faukon, sur nos ondes, les réseaux sociaux et les plateaux télés par des commentateurs confinés dans leurs toutes récentes « compétences médicales et scientifiques » piochées un peu partout sur la « Toile ».
Aussi, m’arrive-t-il, parfois de penser, qu’en ces temps de troubles psychologiques et sociaux graves, le déconfinement de ces « cerveaux », si tant est qu’il soit possible, serait une mesure de santé publique bénéfique à l’ensemble du corps social. En attendant la généralisation sur tout le territoire de « cellules » spécialisées en cette affaire, et parce que cette méthode thérapeutique ne correspond pas au protocole en vigueur dans nos sociétés démocratiques, je recommande, pour l’avoir vérifié, certes de façon très empirique, je le reconnais, de ne faire qu’un seul point d’information par semaine (15 minutes suffisent) sur cette saleté de virus et de ne lire aucun commentaire politico-idéologique le concernant, de près ou de loin. J’ajoute que la lecture de Montaigne, de Chamfort ou de Constant, notamment, supplée grandement aux « manques » qui pourraient résulter de cette abstinence assumée ; comme aussi le suivi régulier et la lecture d’amis Facebook, dont l’humour, les qualités d’écriture et l’indépendance d’esprit, souvent m’enchantent…
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