Chronique de Narbonne, et d’ailleurs. Du langage salé à la communication institutionnelle du Grand Narbonne
Monsieur Ortiz est Vice-Président du Grand Narbonne. Dans le privé, il officie dans une agence bancaire. N’étant pas de sa « clientèle », je ne peux rien dire de son comportement à son égard. Mais du « Ta gueule » adressé à Gérard Schivardi, lors de la dernière session du conseil communautaire, j’en aurai aussitôt retiré mon compte et le reste. Ce ne sont pas des manières! Faut dire, à son crédit, si je puis dire, que son Président Jacques Bascou lui avait tendu le godet : « Ce n’est pas un forum ou le comptoir d’un bistrot, ici, bordel! ». Un langage finalement accordé – pour le justifier peut-être? – à l’objet de ce vulgaire échange, à savoir le recrutement d’un(e) directeur (trice) de la communication; et à cette occasion donner au corps de leur institution une très vilaine… image!
Mots-clefs : Bascou, Commmunication, Gérard Schivardi, Grand Narbonne, Jacques Bascou, Ortiz
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Alphonse MARTINEZ
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ORTIZ je peux en parler de ce fa
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Elle
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Bravo Mr Santo pour cet excellent et percutant petit billet. Pour l’avoir dit. Ortiz est également élu municipal et son langage, si l’image est toujours d’actualité, est celui d’un charretier. Je ne parlerai pas de son action politique ou professionnelle, ne le connaissant pas. Mais son langage peut en donner une idée. Ce qui est vraiment dommage pour ceux qui l’ont élu. Quant à son mentor, il est intéressant d’observer qu’il a choisi, à l’égard de Schivardi, (lors du dernier cc) le ton de celui qui bosse et qui s’adresse au cancre. La vulgarité et l’agressivité – dans ce cas précis – servent souvent les incompétents. Ainsi va la France.
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