Indécente et violente nature …

Ce matin, sous un beau ciel bleu, entre deux voitures garées sur la partie de boulevard bornée par le jardin de la Révolution et le Palais de Justice de Narbonne, un goéland argenté, à coups de bec avides et furieux, arrachait les tripes sanguinolentes d’un pigeon, les ailes abandonnées en forme de croix sur un sol bitumé gris et crasseux. Indécente et violente nature …

Rétrolien depuis votre site.

Laisser un commentaire

Articles récents

  • Dors bien !
    Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
    Aucun commentaire
  • Se dire homme de lettres. La belle affaire.
    Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]
    2 commentaires
  • Le rêve américain de Jean Luc M…
    Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]
    Aucun commentaire
  • Une ville ne dort jamais.
    Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
    Aucun commentaire
  • La mémoire des livres.
    Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
    Aucun commentaire