La disgrâce des cheminots.
Dans « La disgrâce de Turgot » publié en 1961, E.Faure,fin politique, remarque: » C’est sans doute Condorcet qui avait raison ( dans son débat avec son ami Turgot )… Comme il arrive souvent dans les grandes périodes de charnière, c’étaient l’impatience, l’exigence, la rigueur qui formaient le véritable réalisme. C’est dans la toute première période qu’un ministre peut se permettre le plus d’audace. Les réformateurs ont intérêt à l’offensive, qui surprend l’adversaire, le place tôt devant le fait accompli;c’est le conservatisme qui gagne à la guerre de position. » Cette note se trouve dans le » Condorcet » des Badinter, à la page 103 ( Fayard ). Sarkozy, disciple d ‘un des plus brillants esprits de son temps?
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