Dans « La disgrâce de Turgot » publié en 1961, E.Faure,fin politique, remarque: » C’est sans doute Condorcet qui avait raison ( dans son débat avec son ami Turgot )… Comme il arrive souvent dans les grandes périodes de charnière, c’étaient l’impatience, l’exigence, la rigueur qui formaient le véritable réalisme. C’est dans la toute première période qu’un ministre peut se permettre le plus d’audace. Les réformateurs ont intérêt à l’offensive, qui surprend l’adversaire, le place tôt devant le fait accompli;c’est le conservatisme qui gagne à la guerre de position. » Cette note se trouve dans le » Condorcet » des Badinter, à la page 103 ( Fayard ). Sarkozy, disciple d ‘un des plus brillants esprits de son temps?
Sa.18.3.2023 Moments de vie. 14 heures ! C’est l’heure de mon rendez-vous avec Madame T. Elle gère les comptes de ma mère. Étonnement, l’agence semble déserte. Je contourne le […]
Elle habite mon quartier. Mais je ne la vois qu’une fois l’an. Quand fleurissent les jonquilles. L’année dernière, elle avait calé son antique bicyclette contre un banc de pierre de la […]