» A Pékin, Manaudou devra retrouver l’instinct de tueuse qui a fait sa marque de fabrique » . Titre du Chat du Monde du 29.04.2008. Qui en dit plus que l’éditorial de ce même journal sur l’état de nos moeurs journalistiques. Bref, Manaudou est une marque et elle a été fabriquée pour tuer. Une prédatrice qui devra retrouver son désir de meurtres en séries et en finales pour gagner de l’or à Pékin.Une femme réduite à l’état de bête sauvage par un journaliste au stylo libidineux.Pardonne leur, Laure,ils ne savent plus ce qu’ils écrivent, ces chasseurs d’infos…
Ve.2.5.2023 Elles se sont assises autour d’une table du « Petit Moka », au soleil. La mienne, proche, était à l’ombre. J’y buvais ma dernière tasse de café ; elles […]
Ma.23.5.2023 Humeur ! Bénédicte Bonzi est chercheuse associée au Laboratoire d’anthropologie des institutions et des organisations sociales de l’EHESS. Sous […]