Le mur de ma ville.
Juste derrière chez moi, sur le mur d’un bâtiment qui héberge notamment le Conservatoire de Musique de Narbonne, ce poème de Pierre Reverdy; que je lis sans me lasser, à mon retour de longues promenades le long du canal de la Robine.
Il faisait un beau soleil, ce jour là!
Comme le dit joliment Gil Jouanard dans son introduction à une petite anthologie établie par C.M.Cluny: » Reverdy voit l’autre côté du monde dans ce côté-ci. Comme les anciens Gaulois… «
Mots-clefs : Gil Jouanard, Narbonne, Pierre Reverdy
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