« L’homme a été créé pour inventer l’enfer. » Cette phrase de Labou Tansi, écrivain congolais tournait depuis hier dans ma tête. Et puis, ce matin, je visionne cette vidéo et entends ces paroles d’enfant, si justes, si bonnes, si belles… L’une des plus belles voix de la République aujourd’hui…
Hier soir, je commençais l’écriture d’un billet par cette phrase : « J’apprends, ce jour, qu’à Paris, le colonel Beltrame a désormais son jardin et qu’il n’était pas mort en héros, le 23 mars 2018, à Trèbes, mais en victime de son héroïsme, comme le précise insensément la plaque érigée en sa mémoire le 26 février 2020. » ; et me suis arrêté net, le point final posé.
Le Théâtre-Cinéma – Scène Nationale – du Grand Narbonne a enfin ouvert ses portes au public, tandis qu’en coulisse était demandé à sa directrice de prendre le chemin de la sortie. Un souhait qu’elle a pu entendre de vive voix, celle du président du Grand Narbonne, qui se serait exprimé au nom d’une majorité de conseillers communautaires qui lui reprocheraient un budget et des subventions du Grand Narbonne inflationnistes, une faible fréquentation, une programmation qui ne tiendrait pas compte de la demande locale, une coupure de nature élitiste avec les acteurs culturels locaux et les élus etc.
Jean François Billeter a pris le parti de réunir et de traduire les passages des Cahiers de Lichtenberg, cahiers tenus de 1764 à 1799. Il a ajouté aussi, dans son petit bouquin, un bref aperçu de sa vie et de son œuvre et un bref essai où il explique, lui le sinologue, les raisons qu’il a eues de s’intéresser à cet auteur. Ce matin, l’ai surligné dans ma Kindle, ces quelques perles :