Contre-Regards

par Michel SANTO

Attaquer des permanences parlementaires, c’est violenter la démocratie…

8939

Permanence du député Romain Grau, Perpignan, samedi 27 juillet 2019 © CRG

 

Des députés sont nommément désignés, dénoncés, et leurs permanences parlementaires défoncées, murées. Leur crime : avoir « mal voté ». Cet été, le CETA ; demain, la loi sur la Sécurité Sociale ; et les trois prochaines années de ce quinquennat toutes les réformes en cours d’élaboration législative.

Dans la rubrique « Faits divers », des titres à se tordre…

C’est dans les titres de la rubrique « Faits divers » des journaux de province que l’on trouve des merveilles d’humour. Les préposés à ces rubriques y lâchent parfois quelques beaux traits d’esprit — d’ailleurs souvent involontaires. L’occasion aussi, pour les  plus conscients  de tourner en dérision leur métier, et sa prétention au sérieux. Comme nous le faisons tous dans ces moments tragiques ou désolants de la vie, dont on fait des comédies pour mieux s’en consoler…

Saveurs des terroirs : la semaine Bavaroise s’invite aux halles de Narbonne…

     

Mercredi matin, les murs et les piliers des Halles ont soudainement tremblés : une fanfare bavaroise y faisait son entrée, plein cuivres et au pas cadencé. Martiale et le souffle puissant, d’un coup, des odeurs de bière et de choucroute imaginaires ont envahi l’espace de ce temple marchand où se vendent habituellement des salades, notamment, se vident des verres, beaucoup ; et où naissent, souvent, de perfides rumeurs ovaliennes et politiques.

Une fin de journée d’été sur la plage, à Gruissan…

 

Hier en fin d’après midi, quand le soleil perd de sa superbe et les vacanciers  quittent la plage. À quelques jets de parasols, un homme et une femme face à la mer,  assis sur des fauteuils en toile plastifiée. Elle, plus haute perchée, à l’abri d’une visière à « l’américaine », plongée dans ses « mots fléchés » ; lui, presque au ras du sol, la tête et le haut de son corps sous une serviette informe et décolorée.

Une fin de journée d’été sur la plage, à Gruissan…

 

Hier en fin d’après midi, quand le soleil perd de sa superbe et les vacanciers  quittent la plage. À quelques jets de parasols, un homme et une femme face à la mer,  assis sur des fauteuils en toile plastifiée. Elle, plus haute perchée, à l’abri d’une visière à « l’américaine », plongée dans ses « mots fléchés » ; lui, presque au ras du sol, la tête et le haut de son corps sous une serviette informe et décolorée.

Articles récents