Le corps du pape François était encore chaud, que s’affrontaient déjà sur les ondes, télés et réseaux sociaux les chefs et militants politiques qui rêvent d’une église catholique réduite à ses seules dimensions culturelles et sociales, disons humanistes, et ceux, critiques sévères du défunt pape, qui vantent un catholicisme identitaire et conservateur, disons de type maurrassien. Inutile de dire ici, le peu de foi, façon de parler, le peu de respect, restons courtois, que j’ai pour ces hypocrites manipulations idéologiques et politiques.
Le baptême gagne en popularité et devient tendance chez les adolescents et les jeunes adultes. On n’en aura jamais célébré autant qu’à Pâques 2025. En deux ans, les chiffres ont doublé, lit-on un peu partout.
Choix personnel, envie de… quoi, au juste ? Une autre façon de voir le monde, peut-être. Le catholicisme qui deviendrait une contreculture.
« Ce serait très bien, la littérature, si les lecteurs comprenaient un jour ce que c’est. Pas du tout. Un type qui écrit deux cents pages sur sa veulerie, sa saloperie, sa médiocrité, son néant, allez, on lui file le prix Goncourt. Quel talent ! Le type est content. Le talent sauve tout. D’où cette nuée de terribles, d’imbéciles heureux qui couvrent les catalogues d’éditeurs grâce à la faculté qu’ils ont de dire qu’ils n’ existent pas. Si on savait lire, on serait stupéfait de l’aveu d’imbécillité de la plupart de nos auteurs actuels. Ils crient leur vide et on leur trouve du talent, voire autre chose. Tout ça, parce qu’on ne sait jamais. Si on loupait un Miller, un Genet, un Kafka, vous vous rendez compte! Cette peur fait publier, rend publiable, 80 % de notre littérature actuelle. »
Samedi. Ou peut-être jeudi. Je terminais mon tour de ville. À hauteur du café « Le Duplex », je pensais à Pierre. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit. […]
Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar […]
Lu dans l’Indépendant du jour : « l’Occitanie résiliente entend proposer un nouveau modèle de développement pour assurer la souveraineté économique, énergétique, sanitaire et alimentaire […]
La pluie tombait. J’étais près de la fenêtre. La rue était vide. Des feuilles mortes couvraient la chaussée, mouillées. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]