Ruffinades.

Les députés ont voté le passage de 3 % à 6 % pour la taxe sur les services numériques : la fameuse « taxe GAFA ». Taxe saluée comme « un coup de pied au derrière donné à nos dirigeants », par un Ruffin toujours en pointe dans l’incompétence et l’hypocrisie parlementaire.
Car, dans les faits, la réalité est moins héroïque : les plateformes continuent de collecter la taxe, les entreprises clientes voient leurs coûts grimper, et le consommateur final paie.
Comme toujours.
Le gouvernement prévient des risques de représailles américaines. Certes ! Mais la prudence n’efface pas le fait : la facture retombe sur le marché français.
Les députés et Ruffin le savent. Mais ils préfèrent le symbole au réel, le slogan à la conséquence. Multiplier le taux par 2, oui. Mais accepter que l’électeur, le client, l’usager en assume le coût ? Là, c’est le silence.
Il est facile de dénoncer les géants numériques.
Il serait plus courageux de dire qui paie vraiment.
Mots-clefs : Ruffin, Taxe GAFA





Ball
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Bonjour,
Ce n’est pas vrai que de la taxe GAFA, mais de toutes les taxes qui affectent les coûts de ce que nous consommons, et de toutes les gratuités qui sont généreusement et socialement distribuées.
Il y a toujours au bout de la chaîne un imbécile qui paie