Fallait-il implorer la clémence d’Obama pour sauver le « bon soldat » BNP-Paribas ?
Il y a deux ans à peine, au Bourget, François Hollande voulait faire rendre gorge à la » Finance « , au pouvoir de l’argent ! Et ce 6 juin, il implorait la clémence auprès de Barack Obama pour BNP-Paribas . Comme si le président américain pouvait arbitrer une décision de justice qui menace d’une amende record cette banque française coupable d’avoir gravement détourné les lois de son pays .




