Ça fait beaucoup : sondeurs, experts, éditorialistes des grands médias parisiens, commentateurs des commentateurs prédisaient que l’Angleterre resterait dans l’Union Européenne ; qu’Hillary Clinton battrait évidemment Donald Trump ;
Tout a été dit, ou presque, pendant sa campagne et après, sur la grossièreté, la vulgarité, et certains des propos ignominieux de celui qui est aujourd’hui le président de la première puissance mondiale. Inutile donc d’en rajouter ici. Les médias et les réseaux sociaux français, pour la majorité d’entre eux, encore sous le choc, ne cessent de nous le répéter : ce président n’est pas un Père Noël, mais une « ordure », et ses électeurs sont de « pauvres cons ». Point !