Oscar Wilde disait que la vie imitait l’art. Il avait raison.
Oscar Wilde disait que la vie imitait l’art. Il avait raison.
Oscar Wilde disait que la vie imitait l’art. Il avait raison.
Je suis, comme tous les matins, surpris par le nombre de cas cliniques relevés chez les médecins, biologistes, épidémiologistes, vaccinologues, gestionnaires de santé publique, logisticiens etc. nés spontanément lors de l’apparition de cette pandémie, où s’expriment de compulsives lamentations dans le genre : « À vomir ! », suivi de son émoticône – parfois deux ou trois – parfaitement expressif, au moindre des plus petits propos du ministre de la Santé, par exemple, entendus sur ce sujet. Un symptôme névrotique tout a fait caractéristique, chez les personnes concernées (internautes forcenés) d’un « temps de cerveau disponible » captif, raréfié, empêché ; une atrophie cognitive transmissible et virale dont je crains qu’elle ne survive hélas ! à la « Covid 19″…
Qui osera dire que la croissance va revenir, les problèmes posés par la COVID-19 résolus ; que les tensions mondiales, géopolitiques et religieuses… vont s’apaiser. Personne ! Un intellectuel, un expert, un homme politique ou un commentateur médiatique – c’est-à-dire faisant profession d’augmenter son audience publique – s’en dispensera.
Je suis devant le clavier de mon ordinateur et ne sais par quels mots exprimer de sang froid ma colère. Le pays souffre et compte ses morts, victimes innocentes d’un terrorisme aveugle à toute humanité et d’un virus indifférent à toute sociabilité.