« Avortons le patriarcat ! », gueulait-elle, qui me donna l’envie de lâcher la bride aux mots…
L’envie me prend, souvent, dans une controverse, un débat, lus, le plus souvent – je ne regarde ni n’écoute les journaux, chroniques et émissions dites « politiques » à la télé ou à la radio – , l’exaspération montant au fil des clichés, banalités et sottises savamment alignés par des compagnies de faiseurs d’opinion, grands et petits, à découvert ou pas, en général planqués dans de confortables niches sociales et intellectuelles – j’allais écrire petite bourgeoise – ;