Faculté de médecine de Montpellier. Créée au XIIIème siècle, elle est la plus ancienne faculté de médecine d’Europe.
Un camouflet, un revers, un déclassement… Montpellier échoue pour la quatrième fois à l’examen de l’Idex (1). Une claque monumentale, humiliante pour un Philippe Saurel qui ne cessede faire valoir l’excellence de Montpellier et « milite » pour un équitable partage des pouvoirs avec Toulouse. Toulouse qui, il faut le préciser, a obtenu ce label au premier tour de la première sélection. Un échec qui ne m’a pas surpris les fois précédentes, comme cette fois ci encore! Déjà quand j’étais en charge de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et des Transferts de Technologies, entre autres responsabilités, à la Région Languedoc-Roussillon, dans les années 90, et au moment de la création du pôle universitaire européen de Montpellier et du Languedoc-Roussillon, j’ai pu constater, et déplorer, la profonde division institutionnelle, géographique et disciplinaire de ce milieu fait d’universités et d’organismes de recherche où la concurrence, à tous les niveaux, n’a rien à envier à celle qui fait loi dans les secteurs industriels et des services; et de la politique. Loin de l’image d’Épinal de « gentils universitaires » soucieux du seul intérêt général de leur communauté scientifique et éducative, la guerre des egos et des chapelles y est, en son sein, en effet, tout aussi féroce qu’ailleurs.
En avril, Montpellier échouait, pour la troisième fois, à l’examen de l’Idex (l’Initiative d’excellence: Idex, est destinée à faire émerger en France des pôles pluridisciplinaires d’excellence d’enseignement supérieur et de recherche de rang mondial, l’État mettant près de 7 milliards d’euros pour les financer.) Une claque monumentale au moment même où Philippe Saurel et Damien Alary, notamment, ne cessaient et ne cessent encore de faire valoir l’excellence de Montpellier et un équitable partage des pouvoirs avec Toulouse. Toulouse qui, elle, a obtenu son Idex en 2012! En ce mois de juin, c’est la marque Sud de France, fierté de la Région Languedoc-Roussillon – elle candidatait pour l’obtention d’un « contrat de destination » richement doté en subventions – , qui vient, elle aussi, d’être sèchement recalée par l’État.
Un camouflet, un revers, un déclassement… Montpellier échoue pour la troisième fois à l’examen de l’Idex, cette initiative d’excellence pour les universités de la ville dotée d’un budget de 750 millions d’euros. Une claque monumentale au moment même où Philippe Saurel et Damien Alary, notamment, ne cessent de faire valoir l’excellence de Montpellier et un équitable partage des pouvoirs avec Toulouse. Toulouse qui, il faut le préciser, a obtenu ce label Idex au premier tour de la première sélection. Un échec qui ne me surprend pas! Déjà quand j’étais en charge de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et des Transferts de Technologies, entre autres responsabilités, a la Région Languedoc-Roussillon, dans les années 90, et au moment de la création du pôle universitaire européen de Montpellier et du Languedoc-Roussillon, j’ai pu constater la profonde division institutionnelle, géographique et disciplinaire de ce milieu fait d’universités et d’organismes de recherche où la concurrence, à tous les niveaux, n’a rien à envier à celle qui fait loi dans les secteur industriels et des services…
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