Maryse Arditi, la présidente d’Eccla, a raison de s’indigner publiquement à la vue d’un « parking » à même la plage des Mateilles bourré de véhicules automobiles comme j’ai pu le constater encore en cet été 2020. J’avoue avoir la même réaction quand, longeant régulièrement cette plage, ma vue accroche ce qui ressemble à ces immenses espaces où attendent d’être livrées, à la sortie des usines, des milliers d’engins à moteur.
Hier en fin d’après midi, quand le soleil perd de sa superbe et les vacanciers quittent la plage. À quelques jets de parasols, un homme et une femme face à la mer, assis sur des fauteuils en toile plastifiée. Elle, plus haute perchée, à l’abri d’une visière à « l’américaine », plongée dans ses « mots fléchés » ; lui, presque au ras du sol, la tête et le haut de son corps sous une serviette informe et décolorée.
Hier en fin d’après midi, quand le soleil perd de sa superbe et les vacanciers quittent la plage. À quelques jets de parasols, un homme et une femme face à la mer, assis sur des fauteuils en toile plastifiée. Elle, plus haute perchée, à l’abri d’une visière à « l’américaine », plongée dans ses « mots fléchés » ; lui, presque au ras du sol, la tête et le haut de son corps sous une serviette informe et décolorée.