Le culte de la personnalité et les phénomènes d’idolâtrie autour d’un personnage n’ont plus aucun sens dans la France du XXIème siècle; et comme Maxime Tandonnet, je crois que M. Manuel Valls a pris la mesure de la « dévalorisation » de la fonction présidentielle. À sa manière d’ailleurs, il y contribue aussi en occupant sans complexe l’espace politique que François Hollande répugne à franchement assumer.
Les évènements de cette fin de semaine m’ont emmené à m’intéresser au livre de Lhomme et Davet. N’exagérons pas! À sa seule page de couverture. On ne peut pas la louper! Et là, devant mon nez, mystère et boules de gomme, une énormissime faute d’orthographe. Je tourne autour de cette « scène de crime » en essayant de comprendre la raison de cette horreur grammaticale, et n’y arrive pas. Aucun indice linguistique, rien… Cela dit , je vois bien que trois fois quatre et une lettres font une belle image spatialement bien équilibrée. De surcroît d’un jaune de mauvais augure, et sur fond noir comme posées sur un catafalque, elles créent un effet des plus morbide qui désignent un professionnel du genre. Je pense alors évidemment, suis-je sot, à l’ « Omar m’a tuer », qui, jadis, fit les gros titres des chroniques judiciaires de médias toujours par le sang excités. Et d’un vrai meurtre et d’une vraie faute qui désignait un prétendu coupable, Lhomme et Davet en ont donc fait un « argument » publicitaire canon, un « coup » marketing à une balle. Que nous serions censés admirer? Mon pauvre Omar, cette fois ci, avec leurs mots, ils t’ont vraiment « tuer »…
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