Chronique de Narbonne et d’ailleurs. Il sera temps, les jours prochains, de passer au combat politique…
Muriel, une de mes lectrices, m’interrogeait, hier soir, sur ma page Facebook, sur les raisons qui m’amenaient à ne pas relayer l’appel à manifester samedi matin, à 11 heures, place de l’Hôtel-de-Ville, à Narbonne. Comme elle, vous avez été très nombreux à lire ma chronique du 8 janvier , dans laquelle je rendais compte du rassemblement spontané, sur le Cours Mirabeau, d’hommes et de femmes qui n’étaient là que pour une seule chose: dans le silence d’abord faire bloc.