Ce fut donc un naufrage, dimanche. Au Zénith ! Et Valérie Pécresse l’a exprimé de façon inconsciente dans sa malheureuse déclaration d’amour pour la France. Ce pays, « je l’aime corps et biens », a-t-elle confié de manière théâtrale à ses fidèles tétanisés. « Corps et biens » ! Comme un navire disparu en mer, avec son équipage et ses marchandises. Quel pathétique aveu de son impuissance à maîtriser son corps et ses mots ! Quant à ceux de la France ! Un peu d’âme aurait pourtant suffit pour son plus grand bien et celui de notre langue. Le nôtre aussi tant elle est maltraitée par ceux-là mêmes qui devraient la magnifier, la célébrer, l’aimer corps et âme.
Du côté de la droite et de l’extrême droite, les rapports de force sont loin d’être figés. Ces derniers jours on assiste en effet à des mouvements d’adhésion et des effets de polarisation significatifs dans le triangle Pécresse-Zemmour-Marine le Pen.
Si je devais suivre les éditorialistes professionnels des plateaux et leurs clones des réseaux sociaux, Emmanuel Macron serait déstabilisé par la victoire de Valérie Pécresse à la micro primaire des LR ; et sa stratégie gagnante fondée sur un duel de deuxième tour face à madame Le Pen, conséquemment carbonisée.
La droite – LR – existe-t-elle encore ? Ou, plus précisément, la droite composée par Alain Juppé : l’UMP , n’est-elle pas tout simplement en train – façon de parler – de vivre ses derniers mois,ses dernières semaines ?
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