René Girard (1923-2015) (Stanford University-L.A. Cicero)
Au milieu du bruit médiatique et des buzz, qui déchaînent les réseaux sociaux, j’ai retenu une petite sélection d’articles, qu’il fallait lire cette semaine. Une sélection concernant l’un des plus grands anthropologues contemporains, le Français René Girard, théoricien du désir mimétique, qui s’est éteint ce 04 novembre. Ainsi Slate.fr , qui s’est penché sur ses réflexions sur la violence et le sacré, tandis que Le Monde et le webzine Philitt ont tenu à retracer l’ensemble de son œuvre. À l’écoute aussi, cet hommage, sur France-Culture:
Bruno Frappat, dans son épatante chronique de « la Croix »: L’humeur des jours, datée du samedi 28 février, dimanche 1er mars, écrit, notamment, ceci:
… Tout, en France, depuis longtemps, fait polémique, débat violent, lit des haines recuites. La grande historienne Mona Ozouf, qui vient de publier un gros livre rassemblant nombre de ses contributions à la compréhension du système français (1) expliquait, l’autre jour, sur France Inter, la raison pour laquelle, dans notre pays plus qu’ailleurs, la radicalité est un sport national. C’est dans la Révolution française que cette manière de vivre ensemble sous tension permanente prend sa source. Tout noir, ou tout blanc. Rouge ou bleu. Pour ou contre. Tous les rêves français sont fondés sur l’opposition entre le grand chambardement et la crispation sur les acquis.
Elle est allée dans sa chambre. Elle est revenue. Elle tenait un disque. Marcel Amont. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Déjeuner à l’Auberge des Jacobins. Nous y avons nos habitudes. Vanessa est à l’accueil. André est en cuisine. Ils sont jeunes. Ils sont sympathiques. La cuisine est simple. Les prix sont […]
Hier matin, boulevard Gambetta. M… Avec lui, c’est comme ouvrir une radio. Toujours la même musique : ce qui casse, ce qui brûle, ce qui rate. Le reste, ce qui fonctionne, ce qui tient encore debout, […]
Il était assis là, droit comme il pouvait encore l’être. Une doudoune, un souffle un peu court, les gestes comptés. Sur ses genoux, un petit chien. Léger. Silencieux. Les yeux tournés vers la porte, […]