Ma rentrée des classes !
Rentrée des classes aussi pour moi ! 16h30 devant l’école Léon Blum à attendre Mila, 7ans. Sourires discrets et complices échangés avec des parents — et grands parents, nombreux ! La plupart cependant figés, fermés.
Rentrée des classes aussi pour moi ! 16h30 devant l’école Léon Blum à attendre Mila, 7ans. Sourires discrets et complices échangés avec des parents — et grands parents, nombreux ! La plupart cependant figés, fermés.
Dans notre société hyper démocratique et ultra moralisante, il semblerait que le pardon, le repentir, la réparation, la rédemption ne soient plus permis, acceptés !
Une certaine idée de l’élégance. Chacun de ses gestes, de ses déplacements était un enchantement. Son « lancé » traçait dans les airs de brillantes trajectoires. Une vague en recevait l’appât dans un lent balancement ..
La beauté n’a pas de cause. Elle s’impose ; ne convainc pas. Comme la vie.
Hier, seuls ses cheveux noirs, au loin, épousaient le mouvement des vagues. La mer tout entière lui appartenait. Elle semblait immobile, mais patiemment avançait. C’était l’heure où les goélands griffent et sillonnent la plage…
La laideur, la vulgarité a toujours ses raisons. Elle s’exprime, souvent, sous les apparences de l’indignation. Un tel projettera sur autrui ses désirs d’élégance, de savoir, de gloire et de reconnaissance, en exprimant l’indécence, l’immoralité de ceux qui en montrent naturellement les signes ; quand d’autres lanceront bruyamment leurs seaux d’offenses et d’affronts. Au nom de la justice et de la vérité.
Quand un artiste affiche son caractère subversif, on peut être assuré qu’il le fait pour vous escroquer. Comme sur les réseaux sociaux celui qui vous somme de rejoindre les troupeaux d’indignés.
Le 26 août, comme chaque année, les socialistes narbonnais et les amis de la famille Madaule, se sont réunis pour commémorer l’action de Louis Madaule, l’ancien maire SFIO de Narbonne (1948/1958), qui créa le quartier balnéaire de Narbonne Plage.
C’est la rentrée, hélas !, politique et littéraire. Pour la première, une image suffit. Elle dit tout de la façon dont elle est mise en scène par les médias. Comment se fabrique l’information et se fait l’actualité. Ici le contrechamp d’une manifestation…Deux « intermittents » qui, sur les écrans, plein champ, feront « masse »…
Quant à la seconde, je lis sous les doigts du « critique » littéraire d’un grand quotidien, qu’il a distingué — comme ses confrères — dix titres. Dix titres sur 524 ouvrages à paraître ! Et dix titres « comme dix coups portés au plexus. Mais que c’est agréable d’être KO debout. » Admirable lecteur — où trouve-t-il le temps ? — admirable styliste — que de clichés en si peu de mots ! Commentaire d’Arthur (le vilain, le méchant !) : « Le temps destiné à la lecture, accordez-le exclusivement aux œuvres des grands esprits de toutes les époques et de tous les pays, que la voix de la renommée désigne comme tels, et qui s’élèvent au-dessus du restant de l’humanité. Ceux-là seuls forment et instruisent réellement. »