Samedi ! Et si on prenait un peu de hauteur pour penser cette folle semaine médiadico – politique, et ce spectacle désolant de la décomposition d’une partie de nos « élites » … Pour cela quatre extraits de l’analyse de Jean-Pierre Le Goff :
Un texte de Michel Maffesoli qui dit l’essentiel sur la réalité et de la violence du cynisme politique quand il se présente sous les habits de la justice et de la morale.
Les voilà enfin de retour sur les nouvelles Barques, Michèle et Jean Louis ! Ils officient à présent dans un kiosque flambant neuf. Qu’elle est loin l’antique « baraque » d’Augustine devant laquelle mon grand père Antonio me donnait rendez-vous le dimanche matin. Le rituel était toujours le même. Après un rapide échange en espagnol, la maman de Michèle se détournait du « Portillo » – le surnom de mon grand père – et me tendait une énorme « saucisse » – l’ancêtre du churro : un gros beignet bien gras !
France Culture, ce matin, était à Béziers . Notre » voisine » était l’invitée des Matins ( émission de Marc Voinchet ). La présence de Roland Ménard, conduisant une liste soutenue par Marine Le Pen, expliquant évidemment cette couverture médiatique exceptionnelle. Brice Couturier résume très bien la situation de cette ville , et certaines de ses observations, notamment économiques et sociales, valent aussi pour d’autres cités de notre région … À écouter … et méditer !
Comme tous, ou presque, les représentants des 40000 associations du Languedoc-Roussillon, les 1446 maires et leurs adjoints, les 132 présidents d’intercommunalités et leurs élus, les 5 présidents de Conseils généraux et leurs membres, ceux des innombrables syndicats mixtes, des syndicats patronaux et ouvriers, des organismes consulaires et professionnels, écoles, lycées et que sais je encore tant la liste semble infinie… j’aurais pu recevoir l’invitation du Président de la Région Languedoc Roussillon, Christian Bourquin, à sa cérémonie des vœux. Un grand barnum qui s’est tenu le 15 janvier, à Montpellier, au parc des expositions – le si bien nommé en cette occasion. Un rituel où l’on entendu de pompeux discours, avalé d’incalculables quantités de petits fours et de vineux liquides, bavardé, palabré, pontifié, jaboté, harangué… Un moment d’intenses et vaniteux bavardages où se nouent petites et basses complicités ; un concentré de bruyante humanité baignant dans l’inconfort de cette festive et prétentieuse représentation qu’elle se fait d’elle même ; une vertigineuse comédie humaine qui, de Cucugnan à l’Elysée, en passant par Narbonne et Montpellier, mobilise l’énergie, durant tout ce mois de janvier, de ce qu’il est convenue d’ appeler « les forces vives du pays ». Qui pourra jamais en évaluer le prix , à l’échelle de la France entière, en ces temps de recherche d’économies budgétaire ? Chers vœux, très chers vœux !
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