Monsieur Ortiz est Vice-Président du Grand Narbonne. Dans le privé, il officie dans une agence bancaire. N’étant pas de sa « clientèle », je ne peux rien dire de son comportement à son égard. Mais du « Ta gueule » adressé à Gérard Schivardi, lors de la dernière session du conseil communautaire, j’en aurai aussitôt retiré mon compte et le reste. Ce ne sont pas des manières! Faut dire, à son crédit, si je puis dire, que son Président Jacques Bascou lui avait tendu le godet : « Ce n’est pas un forum ou le comptoir d’un bistrot, ici, bordel! ». Un langage finalement accordé – pour le justifier peut-être? – à l’objet de ce vulgaire échange, à savoir le recrutement d’un(e) directeur (trice) de la communication; et à cette occasion donner au corps de leur institution une très vilaine… image!
Dans cette première partie de l’émission de Radio Barques du 20 décembre, il est question du RCNM et des rencontres des maires de Narbonne et de Béziers…
Dans cette deuxième partie de l’émission de Radio Barques du 20 décembre, il est question du Pont de Carcassonne et du « conflit » opposant Didier Mouly, le maire de Narbonne, et Monsieur Julès, son conseiller municipal membre de sa majorité…
Vendredi 19 décembre, pathétique réunion du Conseil Régional. Les rideaux noirs étaient tirés et ses conseillers pleurnichaient. Faussement, comme un vieil accordéon éventré. Alary, son président, niait sa mort pourtant officialisée, Rossignol, pour l’opposition, réclamait une minute de silence. Et, dans cette ambiance de plomb, Alary toujours égrenant d’invraisemblables et ahurissantes propositions. La plus saisissante, absurde ? La création, dans la future grande région, « d’un cinquième niveau de gouvernance regroupant présidents de régions, de métropoles, d’agglos et de conseils généraux afin de traiter tous les sujets territoriaux d’égal à égal ». Et moi qui croyais tout connaître d’élus régionaux jamais à court d’idées pour conserver pouvoirs et privilèges! Accordons tout de même à notre président intérimaire le mérite de nous avoir apporté la preuve, s’il le fallait, d’une incommensurable et ruineuse propension à la démagogie intéressée. Voilà qui augure mal , du côté de Montpellier, de la fusion de Midi Pyrénées avec le Languedoc-Roussillon; et qui nous fait espérer trouver, du côté de Toulouse, un peu de cet esprit de responsabilité perdu sur les rives du Lez. On a encore le droit de rêver à quelques jours de Noël!
Je n’ai rien contre l’art statuaire en général, mais je dois néanmoins confesser une profonde et définitiveallergie à ces bronzes en pieds de personnages publics coulés et érigés aujourd’hui dans nos cités au lendemain de leur mort. Je croyais cette forme de glorification et d’édification des «peuples» définitivement abandonnée, et la voilà qui paradoxalement ressurgit dans nos petites villes de province. En l’occurence la mienne. Les amis et les proches de Georges Frêche furent les premiers à inaugurer cette forme régionale d’idolâtrie politique qui, comme dans tous les cultes, élève le défunt au rang d’oeuvre d’art traversant les siècles.
À Montpellier, on distribue même, chaque année anniversaire, un prix à l’effigie de celui qui ne fut pourtant que le maire de Montpellier et le Président d’un Conseil Régional. Toute une tradition politique fondée sur la seule autorité d’un homme, dont les prosélytes invoquent régulièrement la puissance quasi divinatoire de son esprit et de son action.
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