Tout le monde s’en prend à Marcel Raynaud, notre président cathare. Il accorderait des faveurs à ses proches amis politiques. Ce que faisaient aussi certains papes, et que la langue a consacré par le substantif : népotisme. Pour le premier des cathares audois, se faire ainsi admonester au motif d’abus quasi papal au profit de membres de sa famille politique a dû le crucifier. En l’espèce, le procès en inquisition qu’on lui fait est injuste. Où a-t-on vu, en effet, un sénateur recruter une assistante parlementaire par concours et qui, de surcroît, serait une adversaire politique ? Dans les « guignols de l’info », peut-être ! La démagogie à ce niveau de mauvaise foi se rapproche dangereusement du journalisme « people ». Non, plus sérieux me semble le reproche, qui lui est aussi adressé, de cumuler les mandats de sénateur et de président du Conseil Général. Il est vrai qu’avant, Marcel, en bon progressiste, était contre. Et qu’aujourd’hui, en nouveau conservateur, il est pour. Danger ! C’est avec ce genre de comportement que l’on donne à nos concitoyens l’idée que la politique n’est qu’un théâtre d’illusions. Une farce… Et que pourraient leur venir à l’esprit d’envoyer tout ça « cul par dessus tête » en plongeant dans le vide abstentionniste.Pour le plus grand profit des partis de l’extrême. Noir ou Rouge…
Patrick Nappez est décidemment incorrigible. Michel Moynier s’inspire-t-il d’expériences de déplacements urbains alternatifs à la voiture individuelle réussies en Suède, que notre journaliste en déduit qu’il rechercherait une caution social-démocrate pour camoufler sa proximité politique avec l’U.M.P. Diantre !
C’était un après midi d’un mois d’août particulièrement venteux. La plage de Gruissan était presque déserte.À l’exception de deux couples qui s’occupaient à construire un château de sable. L’ouvrage achevé, une gamine se mit à sauter par-dessus tours, tourelles et murailles en criant « j’ai mon château cathare, j’ai mon…, j’ai mon… ».
S’il n’y prend gare, De Villepin va se retrouver à la gauche de madame Royal. Dominique ne veut pas du service civique obligatoire. Ségo et sarko, oui… Le premier ministre ne veut pas entendre parler des régimes spéciaux de retraites, nos duettistes en causent. L’autre matin, sur R.T.L, la candidate du PS affirme même que : « La régularisation massive n’est pas une solution parce qu’elle lève des espoirs considérables dans les pays d’origine. On n’a pas le droit de faire cela, tant pour la dignité de ceux qui fuient la misère que pour la protection des équilibres économiques et sociaux dans nos pays » .Bien ! C’est Sarko qui doit être content … et Fabius qui doit se demander d’où peut bien sortir cette virago socialiste…C’est au karcher qu’elle nettoie le champ des idées, à gauche…Bénéfique pour le PS, hum ! Je ne suis pas loin de partager l’avis de Lionel sur ce point. Pour le moment, c’est la panique chez les éléphants, qui ne savent plus à quels cornacs se vouer. A droite aussi, c’est pas triste. La guéguerre est repartie. Du coup, M.A.M en experte de porte-avions en détresse se demande si une petite opération commando… Pathétique la dame avec ces airs de colonel à la retraite… En fait, si on y réfléchit bien, les français plébisciteraient un Sarko à L’Elysée et la Ségo à Matignon. Ou bien l’inverse . Un beau ticket.Et quel spectacle!…
En ces temps d’université d’étérose, bleu, rouge et noire, ou le niveau des débatssur les grands problèmes que devra résoudre la future majorité présidentielle tangente le zéro pointé, me vient irrésistiblement aux oreilles la très subtile « valse des éléphants » de Camille Saint-Saëns.
Ve 31.1.2025 Levé à 4h30. Déverrouillage de l’alarme programmée à 5h30. Monté dans le taxi à 7h. Arrivé à l’hôpital privé du Grand Narbonne à 7h 15. Pris en charge, en mains plutôt, par une première […]
Ve 24.1.2025 Chaque mardi et mercredi, une atmosphère singulière flotte dans les allées de ce magasin à libre-service. Loin de l’agitation habituelle des fins de semaine, elles ne sont empruntées que […]
Me 22.1.2025 Cinéma. Dimanche, à 15 heures, ai vu, au Théâtre + Cinéma – scène nationale Grand Narbonne, le dernier film de Walter Salles : Je suis toujours là. Un grand film qui m’a incité à […]