Ce jeune homme est décidément insupportable. On l’attendait sur un plateau de télévision pour y déclarer sa candidature à l’élection présidentielle de 2017, il l’a fait dans un C.F.A de la Seine-Saint-Denis. L’image de journalistes au milieu de « bleus » de travail reniflant des odeurs d’huiles de vidange était du plus bel effet. Depuis, on assiste à un concert quasi unanime de critiques d’une violence inouïe : Brutus, traître, pour tous les tartuffes qui, à gauche, font des procès en traîtrise à François Hollande depuis le début de son quinquennat ; escroc, pour des philosophes « engagés » qui longtemps furent les propagandistes zélés d’un communisme à la mode « Mao » ;
Hier, dans l’édition narbonnaise du Midi Libre, c’était J.P Juan qui se « fendait » d’un édito : « Les bons comptes » pour contester le nombre de signataires d’une pétition (sur Internet et « papier ») lancée par l’association « Touche pas à mon Parc ».
La « Une » de couverture et deux pages sur les politiques de sauvegarde et de promotion des centres-villes dotés d’un patrimoine historique remarquable, dans l’Indépendant du jour. Le prétexte : la biennale du patrimoine urbain mercredi dernier, à Carcassonne , avec au programme « la reconquête des centralités ».
Tout a été dit, ou presque, pendant sa campagne et après, sur la grossièreté, la vulgarité, et certains des propos ignominieux de celui qui est aujourd’hui le président de la première puissance mondiale. Inutile donc d’en rajouter ici. Les médias et les réseaux sociaux français, pour la majorité d’entre eux, encore sous le choc, ne cessent de nous le répéter : ce président n’est pas un Père Noël, mais une « ordure », et ses électeurs sont de « pauvres cons ». Point !