Chronique de Narbonne et d’ailleurs. Le politologue Dominique Reynié vise la présidence de la grande région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon…

maxresdefault

Pour les régionales de décembre 2015, l‘UMP-UDI, dans la grande région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon, n’a pas de tête de liste crédible. Le maire de Toulouse, monsieur Moudenc, ayant clairement annoncé qu’il ne fallait pas compter sur lui et Jean Castex, le maire de Prades, ayant échoué dans les P.O dans sa tentative de faire tomber son département à Droite, comme Carayon dans le Tarn, ne restent que des seconds couteaux au charisme « cantonal »; surtout du côté Languedoc-Roussillon! Par charité chrétienne, et parce que nous sommes dans ce temps de la Pâque festive: les cloches sonnent…, je n’infligerai pas à mes lecteurs la liste de ceux qui y prétendent pour ne citer que le nom de celui qui m’est par la distance le plus proche : le maire de Carcassonne, monsieur Larrat.

Mes Contre-Regards sur Radio Grand Sud FM – Radio Barques – du 4 avril 2015: partie 3

      Granel_David_3avr15   Invité: David Granel, délégué départemental du mouvement « Nous citoyens »: un mouvement pour s’intéresser à la politique… hors la tutelle des partis!    

Mes Contre-Regards sur Radio Grand Sud FM – Radio Barques – du 4 avril 2015: partie 1

    Capture d’écran 2015-03-01 à 14.18.42Cette première partie de Radio Barques, est entièrement consacrée aux élections départementales de mars 2015, en France et la région Languedoc-Roussillon, précédée d’une mise au point de J.C Julès sur la la liberté d’expression en Narbonnaise  

Mes Contre-Regards sur Radio Grand Sud FM – Radio Barques – du 4 avril 2015: partie 2

Capture d’écran 2015-03-01 à 14.18.42Cette deuxième partie de Radio Barques, est entièrement consacrée aux élections départementales de mars 2015 sur la région Languedoc-Roussillon, le département de l’Aude et les trois cantons de Narbonne…  

Retour à la politique réelle: l’accord sur le nucléaire iranien…

422

Que dire d’autre que ce  qu’écrivait Valérie Toranian dans une de ses dernières chroniques de la Revue des Deux Mondes.

« Entre deux maux, il faut choisir le moindre. Barack Obama a choisi. Téhéran est un mal relatif comparé à la barbarie de Daesh. Les diplomates iraniens et américains actuellement réunis à Lausanne semblent prêts à jouer la dernière manche de la discussion autour du programme nucléaire iranien. Objectif pour le chef de la Maison-Blanche : assouplir sa relation avec l’Iran qui, à ses yeux, est sur la scène moyen-orientale la seule puissance capable de stopper l’avancée de Daesh.

L’Amérique sait que ses frappes aériennes ne suffiront pas contre l’État islamique. Comme il est hors de question pour elle d’engager des troupes au sol, l’Iran semble bien être l’unique clé de la résolution du conflit.

Articles récents