J’ai des « amis » qui, depuis deux jours, ne ferment plus l’oeil de la nuit. Ils vivent à l’heure américaine. Comme si leur vie en dépendait. Une vie qui pour nombre d’entre eux se compte pourtant en un peu plus d’une dizaine d’années. À peine. En étant optimiste !
Je suis devant le clavier de mon ordinateur et ne sais par quels mots exprimer de sang froid ma colère. Le pays souffre et compte ses morts, victimes innocentes d’un terrorisme aveugle à toute humanité et d’un virus indifférent à toute sociabilité.
On achève et égorge des chrétiens jusque dans nos églises ! Au nom d’un Dieu qui n’est pas le leur ; et le jour anniversaire de son prohète. À Nice. Ce matin. Quelques jours après qu’aux portes d’un autre temple, celui du savoir, un même bourreau ai réalisé son abominable office. Rien ne sera épargné de tout ce qui nous rassemble. Il faudra du courage, encore et encore, pour regarder en face cette ignoble et mortifère idéologie. En désigner les porteurs d’eaux et de glaives. Les affronter. Toujours ! Sans craindre les procès en sorcellerie politique. Sans trembler.
Si j’en crois l’opposition de gauche et de droite, disons de gouvernement, le Président Macron et ses ministres réunis seraient responsables et coupables de la circulation dense et mortelle de la Covid, et non les français qui pourtant seuls le portent, le transmettent ou ne s’en protègent pas.