Il eut donc fallu que Monsieur Castaner, dans l’instant même où l’assassinat de quatre fonctionnaires de police fût commis et l’information instantanément diffusée sur tous les médias et les réseaux sociaux, déclarât qu’il s’agissait d’un attentat terroriste perpétré par un islamiste infiltré au sein d’une direction de son département ministériel, pour que le procès d’incompétence, de déni du danger islamiste etc., ne lui soit pas fait dans des termes d’une violence politique inouïe, alors que dans cet instant même, les seuls éléments objectifs dont il disposait — dossier personnel du meurtrier, appréciations de ses supérieurs…— ne lui permettaient pas de le qualifier ainsi.
Dimanche matin ! je sors des Halles ; m’arrête devant l’étal du bouquiniste ; cherche une éventuelle « pépite » ; ne la trouve pas ; continue mon chemin ; arrive à hauteur des premiers mètres de la passerelle enjambant le canal de la Robine ; aperçois la même petite bande de militants, en habits de ville et à visages découverts, en poste depuis des mois, tous les dimanches matin ;
« Narbonne En Commun » (N.E.C) est donc la nouvelle enseigne d’un rassemblement des « forces de gauche » narbonnaises. Des forces qui se limitent, pour l’heure, si on exclu les très confidentielles « Nouvelle Donne », « Mouvement Citoyen Narbonnais », d’abord, et « J’Aime Narbonne » ensuite — le faux nez du PS et d’un rassemblement voulu alors par Jacques Bascou, qui excluait le PCF — se résument aux seuls PS, EELV et PCF.
Après Rouen, un lourd nuage de fumée noire s’étend sur la France entière ; envahit les salles de rédaction, les réseaux sociaux ; enfume les consciences et les esprits. Des maladies invisibles menaceraient la vie des habitants du lieu, et d’ailleurs.
J’ai pris connaissance de la mort de Jacques Chirac sans en être profondément ému, attristé, contrairement, si j’en crois les médias et l’ensemble des professionnels de la politique réunis dans l’éloge post mortem, à l’ensemble des français.
La pluie tombait. J’étais près de la fenêtre. La rue était vide. Des feuilles mortes couvraient la chaussée, mouillées. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Lu ce matin dans « L’Opinion », un papier très juste d’Antoine Oberdorff. Ce qu’il décrit n’est pas une colère.C’est une convergence. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]
Premier dimanche de Hanouka.Sydney. Une plage.Plus d’un millier de Juifs réunis pour allumer la première bougie.La lumière. Les chants. Les enfants. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime […]
Sur mon fil d’actus Facebook. Lu ce matin cette révélation : nous vivrions dans un « patriarcat acoustique ». Rien que ça. Quinze ans de retard, mais toujours la même ardeur pour débusquer le […]
Le mantra de Gédéon était simple, brutal : « S’il y a des problèmes avec la police, c’est parce qu’il y a des policiers. » Il en avait fait son programme. Un jour, il ferait tomber l’édifice, et son […]