C’est en lisant le papier de Laurent Dubois – en lien en cliquant sur (ici) –, que j’ai appris le beau coup – économique et financier – réalisé par le groupe Baylet . Il vient de remporter en effet un marché à 4 millions d’euros, pour la publication du journal de la Région présidée par Carole Delga , et vice-présidée par madame Pinel – qui vient de succéder au ministre des collectivités locales J.M Baylet à la tête du PRG .
On s’agite du bocal dans les « chaumières » partisanes narbonnaises. Pas de vapeur en surface, mais ça bouillonne sous le crâne des « chefferies » locales. On feint d’ignorer le calendrier de la présidentielle et des législatives – surtout !– qui suivront, mais on ne pense qu’à elles. À droite, celle qui se prétend apolitique, Mouly applique la recette de papa : « les adjoints ? Interdiction de candidater pour un mandat de député, auquel cas : viré ! » Mieux lui sert un socialiste à l’Assemblée, en effet, qu’un « LesRépublicains » dûment encarté. Celui de Leucate : Py, le maire, le sait ! Qui, déjà investi, sait aussi que sur Mouly il ne pourra pas compter. À gauche, c’est aussi simple, mais un peu plus compliqué. Madame Fabre, du parti de la Rose se représentera ; et ce malgré tout le mal qu’en pense certain – au singulier – de ses amis qui la voudrait voir débarquée –, pour ramer à sa place. Codorniou, « feintera la passe » : aucun intérêt pour lui à revendiquer cette circonscription pour le PRG – et lui… Je le vois mal en effet abandonner l’exécutif de la Région et du Grand Narbonne si, par hypothèse – que je viens d’exclure –, il gagnait ce siège de député. Match Py-Fabre donc, encore un coup ! Avec sur les ailes, le FN à l’extrême-droite (mais qui?) – il sera au second tour pour une triangulaire ! – et je ne sais qui à la gauche de la gauche – divisée, mais qui aura un – ou plusieurs candidats… Tout cela conditionné par le résultat de la présidentielle, évidemment ! Reste une inconnue : Macron. S’il se présente – il en prend le chemin, mais il lui faut 500 signatures d’élus (comme pour Mélenchon !) –, qui, même battu, donnera sa marque à des candidats députés. Ce qu’attend et espère – je m’avance un peu – le « certain des amis de M.H Fabre qui ne lui veut pas que du bien ». J’arrête là mes élucubrations : trop tôt pour y voir clair. À plus tard !
À la lecture de l’Indépendant de ce matin, j’avoue m’être dit, profondément irrité : « Mais de quoi – ou de qui – le titre de ce journal est-il le nom » ? Une réaction que l’on trouvera peut-être grandement exagérée en regard de la « petite affaire politique » locale concernée, ainsi que de son « traitement » journalistique.
Ce week end ce sont les 33 èmes journées du patrimoine et je voudrais vous inviter à découvrir une œuvre qui est une splendeur : il s’agit de la Madeleine de Georges Daniel de Monfreid (1856-1929), présentée au Musée d’art et d’histoire de Narbonne.
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]
Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]