Mes Contre-Regards sur Radio Grand Sud FM – Radio Barques – du 18 avril 2015: partie 1

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Partie 1 : Grève interprofessionnelle du 9 avril: austérité, précarité et …contre-regard ironique de Michel Santo. Didier Mouly, un an de mairie, interview de Midi Libre… et divers degrés de lecture.  
 

Mes Contre-Regards sur Radio Grand Sud FM – Radio Barques – du 18 avril 2015: partie 2

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Partie 2 : Guerre des capitales: Toulouse vs Montpellier, et une nouvelle occasion d’un show Saurel. Suivi d’une autre guerre: celle des Didier, Mouly ayant parait-il « piqué » à Codor son rugbeach estival pour le transférer à Narbonne-Plage. Hourrah, le nouvel abribus du Palais du Travail de Narbonne entre enfin en service…Score final: un platane en moins ! 

Mes Contre-Regards sur Radio Grand Sud FM – Radio Barques – du 18 avril 2015: partie 3

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Partie 3: Henri Martin, une espèce rare (et donc à protéger ?) : le conseiller départemental d’opposition dans l’Aude…évoque la situation politique actuelle dans l’Aude après les élections départementales…ainsi que quelques grands dossiers dont il a la charge au Grand Narbonne. 

Chronique de Narbonne. La guerre du sexe aura-t-elle lieu!

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Étonnamment, l’ouverture, si j’ose dire, d’Éropolis, dans ma provinciale petite cité audoise, bien sage habituellement pourtant, du moins je le croyais naïvement jusqu’ici, coïncide avec le retour des martinets. L’an dernier, c’était le Lundi de Pâques qu’ils criaient dans un ciel Narbonnais sombre et bas. Les martinets, les oiseaux, pas d’autochtones  érotomanes excités par des volées de petits fouets. Toujours est-il que, dans ce salon printanier, sont proposées,  par des hôtesses  bien carrossées, de puissantes montées de sève. À la carte, dans  des chambres aux fantasmes « avec une ou deux filles , avec ou sans sextoy », nous dit-on. Tout cela mêlé au  Parc des Expositions, évidemment! J’imagine d’ici Jacques Bascou, le propriétaire des lieux, en maître des cérémonies tout de cuir vêtu , une paire de ciseau dans une main, un fouet dans l’autre, l’inaugurer cette foire du sexe; j’entends aussi ses « rugissements » de plaisir à présenter ce nouveau concept de Narbonne-Sexopole comme l’indiscutable preuve de l’attractivité de Narbonne et de la (les!) Narbonnaise (s!).  Pendant ce temps d’intense dépense d’énergie libidineuse, Didier Mouly, chut, chut! jaloux, très ! intrigue et serait prêt  à « se déshabiller » m’apprend la rumeur publique, mesquine et sans doute intéressée , pour récupérer, aux forceps, le traditionnel « salon du mariage », afin de l’installer chez lui, si je puis dire,  au Palais du Travail. Un site, austère et froid, sans chambres, cabines, sextoy ni martinets… Quoique! Sait-on jamais…

Chronique de Narbonne et d’ailleurs. Ce mystérieux retour des martinets!

      Martinet-noir--Louis-Eloyve  

Un rituel : mes premières tasses de café à observer le ciel. Mardi, j’ai vu les premières hirondelles voler au-dessus des toits de la Ville. Un couple niche désormais sous la génoise. À  heures fixes,  elles passent en criant devant mes fenêtres. Deux traits blancs et noirs! Aujourd’hui, ce sont les martinets qui viennent d’arriver; il était 8 heures, ce matin. Pas très nombreux encore! Mais, dans deux ou trois jours, ils zèbreront le ciel  de leurs invraisemblables arabesques. L’an dernier, ils étaient déjà-là le lundi de Pâques! Que signifie ce retard? 

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