Je ne sais qui, dans l’entourage de Didier Mouly, le maire de Narbonne, a eu cette idée extravagante d’encorseter les arbres du centre ville, mais le moins que l’on puisse dire est que son auteur manque sérieusement d’ambition.
Ce matin, nous avons quitté notre « cabane » pour nous rendre en ville. Un devoir familial nous obligeait. Devoir est un peu fort, cependant. En vérité, les parents de Milo avaient un rendez-vous et personne « sous la main » pour le garder.
On trouve de véritables pépites en consultant son fil d’actualités. Ainsi ce manuel publié en 1828 : « Le Gastronome français, ou l’art de bien vivre ».
Lundi, 9 heures ! La salle d’attente est vide. À l’accueil, derrière une vitre de protection en plexiglass, une dame vêtue d’une blouse blanche, dont je ne vois que le visage, me demande, sur un ton administrativement neutre, mais plutôt bienveillant, de décliner mon identité et la raison de ma présence, à cette heure, dans ce service de chirurgie ambulatoire. Ce que je fais d’une voix toute aussi, disons terne. Puis j’attends, patiemment, sur une chaise en métal de couleur acier.
« Il faut avoir vu l’homme politique qui passe pour le plus entier, le plus intransigeant, le plus inapprochable depuis qu’il est au pouvoir ; il faut l’avoir vu au temps de sa disgrâce, mendier timidement, avec un sourire brillant d’amoureux, le salut hautain d’un journaliste quelconque ;
Picasso Pablo (dit), Ruiz Picasso Pablo (1881-1973). Paris, musée national Picasso – Paris. MP72. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]