Un dîner à l’Auberge des Jacobins (Narbonne) ! |Contre-Regard.com

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C’était un temps, dans les années 1975-1982, où j’occupais un bureau dans un ancien hôtel particulier de la rue de Bellechasse, à Paris. Le Ministère de l’industrie y avait installé sa Direction des Industries Chimiques et Textiles au sein de laquelle celles du verre et de la chimie minérale, notamment, faisaient l’objet de toute mon attention professionnelle. Parmi les rituels qui organisaient alors mes déplacements dans ce quartier dit des «ministères», celui qui m’amenait jusqu’au kiosque à journaux situé entre le Ministère de la Défense et la sortie du métro Solférino, revêtait plus particulièrement, et au quotidien, un caractère de première nécessité.

Chronique de Narbonne, et d’ailleurs. Une journée particulière au « Domaine de Fontenelles », à Douzens…

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De violents orages s’étaient abattus toute la nuit sur les toits de la ville et la crainte que la pluie du lendemain  tombant par rafales  rende impossible notre amicale fête chez Thierry et Nelly dans leur magnifique propriété de Douzens, le « Domaine de Fontenelles » ¹ , s’éloignait au  fur et à mesure de sa transformation en une généreuse et pacifique offrande à des terres et des vignes aux sols gagnés par une désespérante sécheresse.

Chronique de Narbonne, et d’ailleurs: « Et si le ciel était vide… »

Jeudi, nous étions, Martine et moi, au festival de Carcassonne. Une chanson interprétée par Alain Souchon, m’a touché. C’est le dessin de la semaine:

Chronique de Narbonne, et d’ailleurs. Croquis de vie, de vie comme on l’aime: libre et fraternelle…

Le croquis de la semaine de Denis Carrière:


   
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Croquis de vie, de la vie, comme on l’aime…

 

Vous pouvez agrandir l’image en cliquant dessus. Tous les croquis et caricatures de Denis sont disponibles en cliquant sur: Denis Carrière, en rouge, en haut et à gauche.

Chronique de Narbonne, et d’ailleurs. Les Estivales 2016: cet art de vivre que l’on voudrait nous interdire…

Photo de "Les Estivales de Narbonne"

Photo de « Les Estivales de Narbonne »


Ne pas écrire un mot. «Prier» en silence. Ne pas en rajouter dans l’insupportable «pathos» qui inonde la presse, les réseaux sociaux, leurs « posts » et commentaires. Garder vivante  à l’esprit cette soirée dernière sur la promenade des Barques.

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