En 1965, presque personne n’a voulu se présenter à l’élection présidentielle. Ni Mendés France, ni Pinay. C’était il est vrai la première.
Aujourd’hui, c’est plutôt la bousculade. A gauche, DSK hésite, Royal dit ne pas être candidate en l’état , Fabius encore moins , Valls piaffe d’impatience, Collomb pointe son nez, Martine avance masquée et Hollande s’est déclaré. Quant à Mélenchon, Joly et d’autres encore, ils font tout, ou semblant, pour en être.
A droite depuis sa défaite aux régionales, la maladie progresse. On connaissait un adversaire du président, Villepin. Voici que surgissent les rivaux virtuels, tel François Fillon, ou affichés, tel Alain Juppé. Au centre on en veut aussi sans savoir qui choisir d’ Hervé Morin ou de Jean-Louis Borloo, qui fait savoir qu’il pourrait être intéressé.
Devant ces cohortes, on se demande enfin qui n’a pas envie d’y aller. Sans comprendre pourquoi Georges Frêche ne s’est pas encore mis sur les rangs.
Une petite dépression, peut-être. Dommage! il aurait relevé le niveau…
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