Dans mon billet du 9 septembre « Un rassemblement des forces de gauche, vraiment », j’écrivais ceci : «… Conséquemment, troisième remarque, cette plate-forme, dans ce format, ouvre, objectivement, sur sa gauche, un espace politique à LFI, Génération.s et divers Verts, si je puis dire ; elle crée aussi les conditions d’un transfert de l’électorat « bascouphile » (la droite du PS, et ce qui en reste, centristes et radicaux), vers les listes de madame Granier-Calvet et/ou de la REM (certaines personnalités et proches de J.Bascou ont déjà fait un pas, voire plusieurs, dans cette direction), voire du maire sortant. »
Ce livre n’appartient que bien superficiellement à l’Histoire. S’il a surnagé, ce n’est pas pour avoir peint tels épisodes de la révolution chinoise, c’est pour avoir montré un type de héros en qui s’unissent l’aptitude à l’action, la culture et la lucidité. Ces valeurs étaient indirectement liées à celles de l’Europe d’alors. Et puisqu’on me demande : Que sont devenues, dans l’Europe d’aujourd’hui, celles de ces valeurs qui appartiennent à l’esprit ?, je préfère répondre par l’appel que j’adressai aux intellectuels, le 5 mars 1948, salle Pleyel, au nom de mes compagnons gaullistes.
Discussion, hier, sur un trottoir, avec un candidat aux prochaines élections municipales et communautaires. Son objet : « la ressource en eau qui va diminuer et devenir rare — et chère — ». Une discussion lancée dans la continuité d’une banale remarque sur un été éprouvant — caniculaire — et du « ressenti » exprimé de vive voix par des amis viticulteurs et chefs d’entreprise : « si ça continue, dans moins de 10 ans, on va se battre pour avoir l’accès à cette ressource vitale, pour tous ».
2 Septembre. Le monde est une étrange et cruelle chose : le danger et la mort y sont partout. Nous l’habitons fort heureusement en aveugle, le parons quotidiennement d’illusions. Une chute parfois en déchire les voiles. En retisser les fils, lucidement, est ce qui reste d’espoir.
Par une ordonnance du 27 août 2019, le juge des référés du tribunal administratif de Rennes a suspendu l’exécution de l’arrêté du maire de Langoët, arrêté municipal réglementant les modalités d’utilisation des produits phytopharmaceutiques sur le territoire de la commune, en raison du doute sérieux sur la compétence du maire pour exercer ce pouvoir de police spéciale.