Hé bien voilà, après avoir fait, avec d’autres il est vrai, exploser sa liste, alors qu’elle souhaitait la maintenir au second tour, nos radicaux de gauche narbonnais sortent enfin, et sans masques, de leur confinement politique chez madame Granier-Calvet.
Hier matin, assis à la terrasse étendue d’un café sur la promenade des Barques, je goûtais le plaisir d’une vie sociale en partie retrouvée. Il y avait du monde autour de tables très animées ; sur de rares bancs des oisifs dans mon genre se tenaient serrés et sur la rampe du déambulatoire de petits groupes de jeunes gens campaient : ils riaient. L’air était doux sous les platanes du cours. Des promeneurs paresseusemment le montait ou en descendait. D’un détail, d’une apparence, j’en tirais des histoires, j’imaginais des vies. Un spectacle qui ne lasse jamais. Rien du bruit du monde alors ne venait le troubler. Seul comptait ce mirage.
Mardi 2 juin : deuxième phase du déconfinement, titrent les journaux. Il est 8 heures ; devant ma fenêtre grande ouverte, je jette un coup d’oeil vers un ciel lourdement chargé : le vent marin y pousse de sombres nuages gris.
[…] Le phénomène des intellectuels activistes est typiquement romantique. Ce n’est pas un hasard s’il trouve en Rousseau son paradigme, encore en vigueur aujourd’hui, dans la mesure où se conjuguent en lui, pas toujours de manière heureuse, une conscience de soi exacerbée et l’affectation exhibitionniste d’une généreuse préoccupations sociale.
Clap de fin de négociations entre Narbonne En Commun (NEC) et les Robin.e.s. L’accord de fusion pour le deuxième tour n’a pu être trouvé. C’est ce qu’annonce un communiqué publié au nom de la liste conduite par Nicolas Sainte-Cluque sur les réseaux sociaux ce matin, à 10 heures.
Le sapin est bleu, le givre est froid. Mais au sommet, dans les ailes d’un papillon, brille une étoile rouge. Elle est l’étincelle de la bienveillance. C’est elle qui réchauffe l’image et […]
Samedi. Ou peut-être jeudi. Je terminais mon tour de ville. À hauteur du café « Le Duplex », je pensais à Pierre. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit. […]
Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar […]
Lu dans l’Indépendant du jour : « l’Occitanie résiliente entend proposer un nouveau modèle de développement pour assurer la souveraineté économique, énergétique, sanitaire et alimentaire […]