Les Barques de Narbonne comme lieu où on regarde passer ; du regard aussi comme fin en soi. Comme au cinéma, où, regardant, tout se mélange : désirs, fantasmes et réalité.
Illustration : « Mes petites amoureuses » Un film de Jean Eustache (1974). Dans la Narbonne des années 1970, les premiers tourments érotiques d’un jeune garçon livré à lui-même. Un récit autobiographique et naturalisteplein de finesse…
Mary Cassatt, United States, 1844-1926. Étude de femme âgée en chapeau : fond rouge
Ma 18.2.2025
Moments de vie : Agnès…
Dimanche après-midi, sur la promenade des Barques. Après avoir déjeuné chez Julie, nous prenons le soleil sur un banc public. L’air est doux, la lumière chaude. Une journée printanière ! De rares passants flânaient sur les allées à cette heure encore tranquille. Un climat idéal pour laisser libre court à ses pensées.
Samedi. Ou peut-être jeudi. Je terminais mon tour de ville. À hauteur du café « Le Duplex », je pensais à Pierre. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit. […]
Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar […]
Lu dans l’Indépendant du jour : « l’Occitanie résiliente entend proposer un nouveau modèle de développement pour assurer la souveraineté économique, énergétique, sanitaire et alimentaire […]
La pluie tombait. J’étais près de la fenêtre. La rue était vide. Des feuilles mortes couvraient la chaussée, mouillées. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]