À vous, amis (es), visiteurs, lecteurs habituels et « commentateurs » de ce blog – ilexiste depuis plus de dix ans déjà ! – je suis heureux de vous présenter mes vœux pour 2017. Je vous remercie aussi pour votre fidélité et votre tolérance…
J’ai reçu hier matin une touchante carte de voeux de Didier Mouly dans laquelle, après m’avoir chaleureusement et fautivement rappelé que « nos actions en tant qu’élus », comme les miennes, « en tant que citoyens » – fautivement car lui seul s’adresse à ma personne –étaient « guidées par le coeur », m’adresse en pièce jointe un courrierdans lequel il me fait part, tout aussi affectueusement,de son « indignation » après que j’eus«sans doute constaté une forte hausse de mon imposition locale 2016 dans laquelle la Ville de Narbonne n’a pas le moindre degré de responsabilité».
Robert Walser est né en 1878, à Bienne, dans le canton de Berne. Il est mort le jour de Noël, en 1956, après avoir passé les 23 dernières années de sa vie dans un asile psychiatrique où il n’écrira plus. C’est sur un chemin de neige que deux écoliers le découvrent dans l’après-midi. «La tête, légèrement tournée sur le côté, le promeneur offre une image parfaite de la paix de Noël. Sa bouche est ouverte ; on dirait que l’air hivernal, pur et frais, pénètre encore en lui », écrira Carl Seelig.
« Vue sur cours » est un endroit précieux où l’amateur de beaux objets est immédiatement pris par l’envie de s’y reposer un temps pour en goûter le charme. Une galerie boutique comme je les aime où règne une atmosphère intimiste propre à la découverte de nouveaux talents.
Comme toujours, mais cela n’est pas propre à ce gouvernement, les chiffres présentés et commentés par la ministre du Travail et, fait exceptionnel, on peut le comprendre, par le Président de la République lui-même, le sont de façon positive.
Le soleil tape sur le granit de la Madrague. Ce muret n’est pas une clôture, c’est un barrage. Il sépare l’eau du jardin, le bruit de la mer, le siècle des touristes du silence des […]
Le sapin est bleu, le givre est froid. Mais au sommet, dans les ailes d’un papillon, brille une étoile rouge. Elle est l’étincelle de la bienveillance. C’est elle qui réchauffe l’image et […]
Samedi. Ou peut-être jeudi. Je terminais mon tour de ville. À hauteur du café « Le Duplex », je pensais à Pierre. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit. […]
Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar […]