Cet article écrit par Fewzi Benhabib avec Daniel Bernard a été publié dans Marianne, le lundi 16 novembre, soit avant l’assaut du mercredi et a été écrit avant les attentats. Fewzi Benhabib, membre de l’Observatoire de la Laicité de St Denis (OLSD), habitant depuis 20 ans à St Denis après avoir fui les islamistes en Algérie, a souhaité partager son article sur le blog Saint-Denis Ma Ville (le numéro de Marianne n’est plus en kiosque). Les attentas de Paris lui ont donné une résonance nationale…
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D’après le Monde, plusieurs centres de « déradicalisation » pourraient voir le jour dans les prochains mois, contre un seul prévu avant les attentats. On apprend aussi dans cet article (édition abonnés) donné ici dans son intégralité, qu’au total, ce sont environ 7 000 personnes qui seraient radicalisées, dont 1 200 font l’objet d’un réel suivi aux côtés de 630 familles. Autour, gravitent en plus quelque 5 000 individus supplémentaires, ciblés, eux, par les services de renseignements. 12 000 individus au total donc dans les radars des pouvoirs publics. En face, le budget 2016 alloué à ces actions ne prévoit des moyens que pour un seul centre et « le Comité interministériel de prévention contre la délinquance (CIPD), dirigé par le préfet Pierre N’Gahane, qui a la charge du suivi opérationnel des questions de radicalisation, tourne avec environ 70 millions d’euros par an. Et tout est déjà ventilé sur différentes missions, dont six millions spécifiquement alloués aux préfectures pour la prévention. » Des sommes allouées à cette lutte contre la radicalisation incontestablement trop faibles en regard du nombre des personnes concernées…
Article complet « Le gouvernement accélère sur la lutte contre la radicalisation » signé Elise Vincent:
Ce vendredi 13 devait être une journée de détente pour le président. Mais à 21h36, sa soirée bascule. Et son quinquennat avec. Des explosions viennent de se produire à l’extérieur du stade de France. François Hollande, qui assiste au match France-Alllemagne, est informé des multiples attaques qui ont été menées dans différents points de la capitale. La France, selon ses propres mots, entrait «en guerre» contre le terrorisme islamiste. 130 morts, plus de 350 blessés, dont certains graves, très graves. l’État d’urgence était proclamé et les priorités politiques pour les mois à venir étaient chamboulées. Le temps n’est plus, comme jadis cela était dit, à la « redistribution », il exige désormais le renforcement et l’augmentation des effectifs de police, de gendarmerie et de justice.
Partie 3. Catherine Bossis, récente en politique à Narbonne, s’est illustrée en mars dernier en battant aux élections départementales…le maire de Narbonne sur le canton Sud. Elle occupe aujourd’hui une vice-présidence au département, pour le secteur Enfance, Inclusion sociale et Logement. Quant aux prochaines municipales à Narbonne, elle attend de voir…
Après madame Delga, la tête de liste PS/PRG aux régionales de la région LRMP qui plaidait, dansActu/CôtéToulouse., pour que Midi-Pyrénées/Languedoc-Roussillon jouisse de sa propre zone de défense, avec un pôle décisionnel in-situ, qui ne serait pas fixé à Bordeaux ou Marseille comme actuellement, voilà que François Commeinhes, le sénateur et maire « LR » de Sète,s’y met lui aussi.