Jeudi est jour de marché en centre ville. L’alimentaire est rive droite de la Robine, le textile et les fleurs, rive gauche. Le ciel était bas et gris ; il pleuviotait. Les chaussées, glissantes, brillaient. Il était 9 heures. De ma fenêtre, je suivais, rêveur, de rares et sombres silhouettes.
Mon ennemi, c’est la finance! Et, dans cette chasse au « blé » indûment fauché, deux cibles en ont fait les frais: les veufs et veuves retraités et les personnes handicapées. Deux classes d’individus scandaleusement prédatrices, en effet. C’est « Jeannine, 84 ans », dont la taxe foncière est passée de 147 euros en 2014 à 824 euros en 2015. « Pour la première fois », elle a reçu dans sa boîte aux lettres la taxe d’habitation, « fixée à 363 euros ». Ou Joseph, mon voisin paralysé qui,parce qu’il aura épargné un peu, verra son allocation actuelle passer de 1 000 euros à moins de 800 euros, parce qu’il aura un peu épargné ! Même tarif que pour les autres minima sociaux comme le RSA ou le minimum vieillesse.
Je.2.1.2023 Attachements. J’ai des centaines d’amis virtuels sur Facebook. Je ne peux évidemment pas lire tout ce qu’ils publient sur leurs pages. Le […]
Di.29.1.2023 Le monde est plein de secrets. Nous croyons connaître ceux qui sont près de nous, mais le temps nous révèle que nous en savons toujours moins ; que la zone […]