Cette semaine, jeudi 25 janvier, Alain Perea démissionné d’office de son mandat de Vice-Président du Grand Narbonne depuis la validation de son élection à l’Assemblée Nationale par le Conseil Constitutionnel, Jacques Bascou, son président (du Grand Narbonne) anciennement socialiste, soumet au vote de son conseil communautaire un projet de délibération afin de procéder à l’élection de son remplaçant au sein de l’exécutif de l’Agglo.
J’ai adressé un petit (et léger) questionnaire – dans le style du questionnaire de Proust ! – aux candidats à l’élection législative des 11 et 18 juin sur la deuxième circonscription du département de l’Aude investis par leur parti ou mouvement. Leur profession de foi politique étant disponible en abondance et ailleurs, il m’a semblé utile – et amusant ! – de les soumettre à ce petit « jeu intellectuel ». Leur réponse – s’ils répondent ! – sera mise en ligne, dans l’ordre de leur réception. Pour celles ou ceux qui n’auraient pas reçu ce « questionnaire », il est bien entendu très facile de me le faire savoir – et de me le demander !…
Curieux quand même ces députés de la majorité présidentielle qui dressent des bilans de leur mandature que pourrait présenter un maire, un président d’Agglomération, un responsable viticole, un vice-président de la Région, un inspecteur d’académie… ou un responsable d’une association de développement local. Que je sache, le seul bilan dont ils sont comptables devant leurs électeurs est celui de la majorité à laquelle ils appartiennent, des lois qu’ils ont votées ; et des résultats du gouvernement qu’ils soutiennent au regard des engagements et propositions défendus devant les électeurs qui les ont portés à l’Assemblée ; et au pouvoir. Un ou une députée n’a pas, en effet, de mandat impératif, il représente la « volonté nationale », la « Nation toute entière » et non celle d’un territoire déterminé. Une des raisons, entre autres, pour lesquelles n’est pas exigé, pour candidater à cette élection, de payer ses impôts dans une commune de la circonscription convoitée… Bref ! le qualificatif de« proximité », toujours revendiquéà la veille du renouvellement de leur mandat n’est en réalité qu’un moyen de sauver les apparences. Outre que plus personne ne peut plus ne pas être « normal », de « proximité », à « l’écoute », « réactif », « communicant », et que sais-je encore, pour se « situer dans la modernité » (sic), nos députés en usent surtout comme un leurre. En détournant le regard des électeurs vers des actions dont la réalisation ne dépend en aucun cas de leur pouvoir d’élu, ils tentent ainsid’échapper à leur jugement proprement politique : sur leur parti et leur majorité. Le seul qui compte ! J’écarte volontairement celui – de jugement – que chacun peut émettre sur la personne, sa personnalité, son caractère… son profil, et qui, parfois, se révèle plus déterminant que tout le reste. Lapolitique, et c’est heureux, est aussi une activité, une profession, où l’affectif et le sensible jouent un très grand rôle dans la représentation que l’on se fait de ses principaux acteurs.
Note: Je me permets de faire observer au rédacteur de l’article concernant madame Fabre dans l’Indépendant de ce jour, que cette élue ne l’est pas au « parlement » (avec un petit p), mais à l’Assemblée Nationale. Le Parlement, en France, est la réunion des deux Chambres:le Sénat et l’Assemblée Nationale.
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C’était vendredi dernier. Toute la journée, la CGT mettait le pays sous tension tandis que le matin Macron participait, à La Grande-Motte, au pépère congrès de l’Association des petites villes de France, invité par son président le député-maire d’Annonay (Ardèche) Olivier Dussopt. L’après midi, il tirait même des filets et pêchait l’anguille sur l’étang de l’Or. Et quelques « poissons » aussi dans les eaux de la classe politique régionale, au passage. Une image biblique, tant le jeune et entreprenant ministre semble marcher sur l’eau. Si l’on en croit les sondages, en tout cas!
Comment dire ma stupéfaction devant l’avalanche de « posts » et commentaires, notamment sur les réseaux sociaux, s’indignant que la société organisatrice du Tour de France ait contracté avec le groupe viticole chilien Cono Sur – comme les montres suisses ou andorranes Tissot ou Festina, ou les voitures tchèques Skoda, entre autres.
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]
Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]