Le 9 mars j’écrivais ceci: « Cette gauche de la gauche (syndicale et politique) ne peut plus masquer, en effet, sa véritable ambition qui est tout simplement de « faire la peau » du couple Hollande-Valls. Elle fait le pari de la non-représentation du président de la République à la prochaine présidentielle ou, si son intention était de se représenter, de tout faire pour l’en dissuader.
Véritable révolution populaire et démocratique pour les uns, rassemblement de punks à chiens et de joueurs de djembé en mal de 8-6 pour les autres, l’événement fait parler de lui un peu partout, et prolifère chaque semaine un peu plus. Que l’on soit d’accord ou non avec les idées et méthodes de la foule, n’en reste pas moins cette grande question : la Nuit Debout en son état actuel peut-elle changer l’humble royaume de France, voire au passage, le monde ?
Ce matin, dans les « Matins de France Culture », le préposé à la revue de presse (1), Nicolas Martin, nous a sorti son dictionnaire des idées reçues pour se gausser des éditorialistes de la presse écrite, nombreux, qui auraient, selon lui, l’outrecuidance de signaler, avec plus ou moins de condescendance, l’essoufflement « d’un mouvement social », selon eux bien mignon, mais ne servant pas à grand-chose, pour ne pas dire à rien.
C’était un soir de cette semaine, au 20 heures de TF1. Au sommaire, un sujet sur « #NuitDebout » ce mouvement spontané (tu parles!) dont tous les médias raffolent. Quelques centaines de personnes, place de la République, aux profils typés: jeunes et vieux Verts, jeunes et vieux étudiants de socio, jeunes et vieux lycéens anticapitalistes…
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