Cette année a bien commencé. Je passe sur les premiers jours, que j’ai déjà oubliés ; pas tout à fait cependant : il a fait froid, le vent était violent – il soufflait par rafales. Un temps à rester chez soi, au chaud ; à n’en sortir que pour acheter ce qu’on appelle désormais des « biens essentiels » : pain, café et de quoi manger. Les autres, accessoires, mais nécessaires : musique, film, séries, livres sont à ma portée : dans mes bibliothèques – la grande, en bois, et la virtuelle, sur le cloud d’Amazon – et sur « Netflix ou en rediffusion sur Arte notamment. Je n’ai donc pas de raisons, disons objectives, d’aller les chercher ailleurs : librairies, salles de cinéma, médiathèques. Quant à celles, subjectives, qui, me serine-t-on, devraient me conduire à y rechercher la présence d’autrui, voire celle de la foule, je n’en discuterai pas ici le sérieux…
Dans l’agenda culturel du Grand Narbonne, je note une « Faîtes de la courge. »,à Mailhac, le 30 octobre. Cette cucurbitacée , je l’ignorais, est l’emblème de ce pittoresque village. Son origine provient d’une légende qui fit prendre aux habitants de cette petite cité une courge évidée pour le diable en personne. Depuis, ils font des courges à toutes les sauces et affirment, sans honte ni retenue, leur statut légumier et philosophique.
De mon ami blogueur « Le lorgnon mélancolique », un extrait d’une de ses chroniques:
…. Dans Monplaisir …en littérature, relu récemment, j’avais oublié un texte étrange de Paul Morand qui se donne comme une réflexion sur le silence en littérature et qui devait sans doute servir de prologue à Tais-toi. Texte magnifique, toujours actuel (il suffit de remplacer « dictaphone » par « smartphone »…) …
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