Le canal du Midi est menacé de déclassement par l’Unesco.Voies Navigables de France (VNF), l’organisme gestionnaire, n’a plus les moyens financiers suffisants pour entretenir l’ensemble de son patrimoine fluvial et immobilier, les maires des communes riveraines, en l’état actuel du droit, peuvent saborder ses abords en y créant des zones pavillonnaires ou des zones commerciales, comme dans l’Aude, et il faudrait laisser les choses en l’état!
Très bon article (1) de René Ferrando, dans le Midi Libre d’hier, édition de Béziers. Son sujet: la réunion voulue secrète, le lundi 8 février, autour du maire de Narbonne, Didier Mouly, de ses amis Gérard Larrat et Robert Ménard, ses homologues de Carcassonne et de Béziers, pour lancer une offensive politico-économique commune sur les eaux et les berges et les ports du canal du Midi, et de la Robine réunis. Réunion, suivie le 15 février, par la diffusion d’un « laconique » communiqué de presse du maire de Narbonne.
Poisson d’avril, en février! En début de Carême, Didier Mouly se fait photographier en compagnie du couple Saurel venu assister à un match de rugby au Parc des Sports et de l’Amitié, à Narbonne. Et fait ce commentaire, politique: « Narbonne n’est pas isolée. Votre maire n’est pas seul », et ce quelques semaines après avoir retiré sa délégation à monsieur Orrit pour avoir candidaté sur la liste Saurel aux dernières régionales…
Ce matin, depuis ma terrasse, l’ordinaire s’est tu. La cathédrale Saint-Just et Saint-Pasteur de Narbonne se dressait. Pierre médiévale, chœur seul à 41 mètres, nef jamais construite. Le ciel, pêche […]
Shein n’est pas cher. Et l’indignation s’arrête là où commence l’intérêt du porte-monnaie. On crie au scandale, on dénonce l’exploitation, la fast fashion, les produits jetables. […]
Ai sorti de ma bibliothèque Kindle 𝑳𝒆 𝒅𝒆́𝒋𝒆𝒖𝒏𝒆𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝒃𝒂𝒓𝒓𝒊𝒄𝒂𝒅𝒆𝒔, 𝒅𝒆 𝑷𝒂𝒖𝒍𝒊𝒏𝒆 𝑫𝒓𝒆𝒚𝒇𝒖𝒔. Je le dévore, et je ris. Rarement un roman m’a paru aussi vif, aussi cruel et délicieux à la fois. Le décor : le […]
𝐇𝐮𝐦𝐞𝐮𝐫 : 𝐋𝐞 𝐩𝐚𝐲𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐦𝐨𝐝𝐞̀𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐫𝐝𝐮𝐬. Le modèle social français se meurt à petit feu. Trop cher, trop lourd, trop lent. On l’entretient à crédit, comme une vieille maison dont les murs craquent. Et […]