Narbonne ! Municipales 2020 : Quelques remarques sur la polémique entre Bertrand Malquier et Nicolas Sainte Cluque

 
Narbonne. Hôtel de ville.
 

Bertrand Malquier accuse Nicolas Sainte Cluque de plagiat, le second prétendant le contraire. Le sujet de la polémique étant « l’aménagement des berges de la Robine » selon l’Indépendant du jour. Je vais donc mettre les deux candidats d’accord, sur un point seulement : la date et l’origine de ce projet en débat, en reprenant ce que j’écrivais dans mon blog le 20 novembre 2019, sous le titre : « Narbonne ! Municipales2020 : À mon tour d’entrer en campagne ! ». Voici :

Narbonne ! Municipales 2020 : Transferts politiques croisés et brouillages idéologiques…

 
Narbonne. Hôtel de ville.
 

Nous n’aurons jamais vu autant de « transferts » politiques croisés que dans cette dernière « campagne » des municipales. Impossible ici d’en dresser la liste complète : il me faudrait quadrupler le format habituel de ces textes. Je n’en présenterai donc que quelques uns, particulièrement représentatifs, pour en montrer l’importance.

Quelques notes prises au fil des jours…

   

Ai noté ceci :

Le 4 février : Toujours du grand Jules Renard, dans son journal : «Il y a des gens qui, toute leur vie, se contentent de dire : « Évidemment ! Parfaitement ! C’est horrible, admirable, extravagant, bien curieux. » Par eux-mêmes ils n’ont aucune valeur, mais ils sont d’un grand secours à autrui : ils lui servent de verbes auxiliaires.»

Narbonne ! Municipales2020 : la piqure de rappel du PCF à ses électeurs et alliés…

 

     

L’on ne saurait reprocher aux communistes narbonnais de la constance dans l’expression publique de leur stratégie politique. Pour eux, l’apolitisme – le terme apartisan, me paraît toutefois plus pertinent : gérer une ville, c’est évidemment faire de la politique – affiché par les listes conduites par Didier Mouly, le maire sortant , Madame Granier-Calvet, l’ex-adjointe de ce dernier et David Granel, soutenu par la REM, sont des listes libérales et de droite.

Scènes de la vie narbonnaise et d’ailleurs : un spectacle qui réveille toujours en moi un profond sentiment d’hostilité envers mes semblables…

   

       

Il est 10 heures 30, ce matin. À travers la grande baie de mon bureau surplombant les toits, la place et les rues qui font ma géographie quotidienne, j’observe, par intermittence, plus ou moins distraitement, et après que j’eus tapé quelques mots sur mon écran d’ordinateur, la circulation de passants, pour la plupart d’entre eux anonymes et plus ou moins pressés, ainsi que les déplacements et gestes d’ouvriers oeuvrant sur le grand chantier de rénovation urbaine ouvert au bas de mon immeuble du centre ville.

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