Ce week end ce sont les 33 èmes journées du patrimoine et je voudrais vous inviter à découvrir une œuvre qui est une splendeur : il s’agit de la Madeleine de Georges Daniel de Monfreid (1856-1929), présentée au Musée d’art et d’histoire de Narbonne.
Battue en finale de Roland Garros par Garbine Muguruza, Serena Williams eut à la remise de son trophée un geste étonnant. La belle Afro Américaine s’adressa au public en français, rendant ainsi un élégant hommage à notre langue. Mais plus que cela, l’experte en adversité semblait dire qu’en dépit de l’hégémonie sans partage de sa propre langue, il en existait d’autres et qu’elles devaient rester vivantes. Ce beau geste était politique, et d’autant plus précieux en son genre que le sport, en dépit son audience mondiale, est rarement le lieu de l’expression des idées.
Patrick Chappert-Gaujal expose¹ à Saint-Cyprien, à la Collection François Desnoyer, le fruit d’un travail entrepris en janvier 2011 autour et sur des cartes marines. Sans doute la plus belle de ses expositions, tant par la qualité esthétique des œuvres présentées que dans sa surprenante et « géniale » scénographie. Entièrement plongée dans le noir, cette exposition nous transporte en effet dans une sorte de cabinet de curiosité qui n’offre, de manière faussement paradoxale, d’autres points de repères que d’énigmatiques « cartes » aux figures de continents imaginaires.
je suis de ceux qui vibrent au micro-évènement d’une hirondelle posée sur un fil électrique à basse altitude, environ trois mètres, et qui se laisse approcher jusqu’à voir sa gorge blanche frémir sous un vent d’ouest de fin d’après midi, sur l’ancien chemin de halage du canal des Deux-Mers, au Somail, ce superbe hameau situé à quelques kilomètres seulement de Narbonne, malheureusement amputé de valeureux platanes rongés par une maladie incurable, qui jusqu’alors offraient aux promeneurs leurs ombres protectrices les jours d’intenses et brûlantes lumières d’été.
La pluie tombait. J’étais près de la fenêtre. La rue était vide. Des feuilles mortes couvraient la chaussée, mouillées. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Lu ce matin dans « L’Opinion », un papier très juste d’Antoine Oberdorff. Ce qu’il décrit n’est pas une colère.C’est une convergence. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]
Premier dimanche de Hanouka.Sydney. Une plage.Plus d’un millier de Juifs réunis pour allumer la première bougie.La lumière. Les chants. Les enfants. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime […]
Sur mon fil d’actus Facebook. Lu ce matin cette révélation : nous vivrions dans un « patriarcat acoustique ». Rien que ça. Quinze ans de retard, mais toujours la même ardeur pour débusquer le […]
Le mantra de Gédéon était simple, brutal : « S’il y a des problèmes avec la police, c’est parce qu’il y a des policiers. » Il en avait fait son programme. Un jour, il ferait tomber l’édifice, et son […]