L’ère du vide !
|
Maxime Tandonnet nous invite à relire un chef d’oeuvre prophétique aujourd’hui plus ou moins oublié: « L’ère du vide », écrit en 1983 par Gilles Lipovetski (Gallimard). Il en cite trois passages particulièrement significatifs:
Maxime Tandonnet nous invite à relire un chef d’oeuvre prophétique aujourd’hui plus ou moins oublié: « L’ère du vide », écrit en 1983 par Gilles Lipovetski (Gallimard). Il en cite trois passages particulièrement significatifs:
Mercredi dernier, randonnée sur le sentier « sculpturel » de Mayronnes. Une belle surprise, malgré un temps triste et maussade . On s’arrête devant une « œuvre » d’Anne Sarda : un genévrier sec, mort ; branches tordues, décharnées… désespérément tendues vers un ciel sombre, épais, pluvieux. Je l’imagine au moment de « sa mise en scène », en mai, peut-être, de l’année dernière, sous un soleil brûlant. Un squelette tourmenté sur une terre nue, épuisée. Tout le tragique de la vie !
Découvrir Narbonne l’été, ce n’est pas seulement se remémorer Charles Trénet ou participer aux festivités organisées en son nom. D’autres artistes y vécurent aussi. Jean Eustache notamment, à qui je pensais en prenant cette photo de l’entrée de sa maison de la Place des Quatre Fontaines. Étonnamment, deux jours plus tard décédait Bernadette Lafont, Marie dans son film « La maman et la putain ». Il est de troublantes coïncidences tout de même ! Les portes ouvrent sur d’infinis mystères…

Serge Bonnery l’ignore sans doute, mais nous avons un ami commun, Michel Arcens. À sa demande il a écrit un texte (12 janvier 2014) consacré à la mémoire de Joë Bousquet pour son blog : L’Instant dédié à la littérature, la poésie, la philosophie, le jazz et les arts plastiques sous leurs formes les plus variées. Un texte que je reproduis ici dans l’espoir de susciter auprès de mes lecteurs le désir de plonger dans l’univers littéraire de Joë Bousquet. Et de l’aimer…
Joë Bousquet de mémoire. (Serge Bonnery):
Vernissage de l’exposition -du 9 juillet au 12 septembre – de Serge GRIGGIO, artiste peintre , aujourd’hui même mardi 8 juillet, à 18 heures 30, à la mairie annexe de Narbonne Plage, salle Lykia.