Il est avéré que, selon le principe d’incertitude d’Heisenberg, (dont je ne puis évidemment douter), le vide est un plein d’énergie, a un poids. Ce qui semble définitivement admis par la théorie physique, l’est- il donc aussi en sciences humaines, songeais–je ? Une pensée, une proposition, un discours, une campagne électorale, une installation « artistique », enfin, vide de sens, par exemple, aurait-elle un poids, une « valeur » – marchande ! – ? À l’épreuve de l’expérience empirique la plus banale, indubitablement ! Impossible en effet de s’en débarrasser : le vide emplit notre quotidien, nos vies… Et, parfois, souvent en vérité, je l’avoue, il me pèse… Mais à un point ! Si vous saviez !
Dis moi ce qu’il a mangé, je te dirai ce qu’il va dire…
On trouve de véritables pépites en consultant son fil d’actualités. Ainsi ce manuel publié en 1828 : « Le Gastronome français, ou l’art de bien vivre ».
Faiblesse des durs ; douceur des forts…
« Il faut avoir vu l’homme politique qui passe pour le plus entier, le plus intransigeant, le plus inapprochable depuis qu’il est au pouvoir ; il faut l’avoir vu au temps de sa disgrâce, mendier timidement, avec un sourire brillant d’amoureux, le salut hautain d’un journaliste quelconque ;
Je n’aime pas voyager loin !
Un dimanche pas comme les autres où des supporters du RCN, aussi, chantaient…
Dimanche ! Joseph a retrouvé sa cabane, son balai, son râteau et son pinceau. Il faisait beau. Le ciel et le vent étaient au repos. Loin de la ville et des écrans, le chant de deux oiseaux donnait une grande intensité au calme qui l’environnait. Il ne ressentait aucune fatigue et n’éprouvait aucun autre désir que celui de peindre une petite bordure en ciment.







