Il s’agit de se mouvoir dignement dans un monde incertain !

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Sylvain Tesson est écrivain et voyageur. De l’Himalaya aux steppes d’Asie centrale, de la Sibérie aux grands espaces mongols, il a parcouru le monde. Cet été, il nous embarque sur France Inter, le samedi matin,  avec Homère pour une navigation héroïque et magique dans deux poèmes ineffables : « l’Iliade » et « l’Odyssée », la guerre de Troie et le retour d’Ulysse à Ithaque… C’est mon conseil de voyage immobile estival ! Vous serez assuré, à chaque escale radiophonique, d’y trouver de quoi remplir votre journée, que dis-je , votre semaine, de trésors de lecture offerts avec toute l’empathie naturelle que dégage cet auteur solitaire et secret. Je profite de cette occasion pour « poser » ici aussi trois réflexions du même Sylvain Tesson. Elles n’ont aucun rapport avec sa lecture d’Homère. Encore que !

14 Juillet en Occitanie ! Il reste encore des « seigneuries » locales à faire tomber !

   

Monsieur Méric préside le Conseil Départemental de la Haute Garonne. Il est socialiste… et républicain. La preuve ? Il fait de son institution et de son « hôtel » , en ce jour de fête nationale, un restaurant ouvert à ses habitants. Boissons et repas sont offerts , évidemment !

D’un déjeuner à Leucate où il fut question de Macron, des médias, d’Angelin Preljocaj, de la danse de la mer et de la vie, notamment !

 

   

Jeudi 6 juillet. Leucate village, à la terrasse du 35 bis, avec Michel Arcens pour notre déjeuner estival. Un rituel qui, entre Perpignan, où il réside, et Narbonne, nous réunit chaque été, depuis trois ans déjà ! Un léger vent venu de la mer et notre table à l’abri du soleil créaient d’idéales conditions pour ce moment de partage amical. La présence discrète d’une clientèle étrangère ajoutait au tableau une touche de vie sociale exotique. Je ne sais pourquoi, une certaine nonchalance générale peu-être, donnait à cette jolie petite place un petit air d’Italie…

À l’Élysée plus grand monde ne parle à la presse, dit-on !


Dans son billet politique, Frédéric Says, sur France Culture, ce matin, se plaignait du tarissement des sources d’information auprès desquelles ses confrères journalistes s’alimentaient sous la présidence de François Hollande – et celle de son prédécesseur.

Sur le parvis de la Scène Nationale, Didier Mouly faisait son théâtre…

 

 
 

Samedi dernier, Didier Mouly faisait son théâtre. Dans son rôle habituel ! Celui de Tartuffe. Sur un parvis – de sa compétence – aux marches défoncées (1), sous un soleil de plomb et devant un public – petit – anesthésié, il a éreinté la gestion de la Scène Nationale – déficitaire – par Jacques Bascou – qui ne la gère pourtant point, même s’il elle est dans « ses compétences » et qu’il l’a finance ! Programmer une salle multimodale à 20 millions d’euros dont la gestion sera structurellement déficitaire, elle aussi, et demander au président de l’Agglo de lui refiler le Théâtre, pour le mieux gérer, c’était gonflé tout de même… Et il a osé ! Sa solution ?

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