Discussion, hier, sur un trottoir, avec un candidat aux prochaines élections municipales et communautaires. Son objet : « la ressource en eau qui va diminuer et devenir rare — et chère — ». Une discussion lancée dans la continuité d’une banale remarque sur un été éprouvant — caniculaire — et du « ressenti » exprimé de vive voix par des amis viticulteurs et chefs d’entreprise : « si ça continue, dans moins de 10 ans, on va se battre pour avoir l’accès à cette ressource vitale, pour tous ».
Par une ordonnance du 27 août 2019, le juge des référés du tribunal administratif de Rennes a suspendu l’exécution de l’arrêté du maire de Langoët, arrêté municipal réglementant les modalités d’utilisation des produits phytopharmaceutiques sur le territoire de la commune, en raison du doute sérieux sur la compétence du maire pour exercer ce pouvoir de police spéciale.
Voilà c’est fait ! La plate-forme entre le PS et le PCF, surtout, et les Verts de EELV, Nouvelle Donne, J’aime Narbonne et le MCN (Mouvement Citoyen Narbonnais), dont j’évoquais la signature prochaine dans mon billet du 5 septembre a fait l’objet d’une présentation à la presse et à ses lecteurs (succinte : le préambule seulement), par ses dirigeants ce samedi 7. Qu’en dire, en « trois mots » ?
Où en est-on de l’union de toutes les gauches dans ma petite cité ? La question n’est pas théorique : le PS et son chef de file, pour les municipales, Nicolas Sainte Cluque, comme le PCF et divers autres composantes (EELV, MCN…), ne cessant de la promouvoir jusqu’ici en idée.
Dans notre société hyper démocratique et ultra moralisante, il semblerait que le pardon, le repentir, la réparation, la rédemption ne soient plus permis, acceptés !